Une présence attendu...

Celle outré par la maladie, la fatigue lu était enlevé. Maintenant, elle parcourait le monde si infâme, à la recherche de l’âme qui parcourait le destin si cruel qui lui était réservé. Son empathie l’amena jusqu’à la statue de Sylvania : Sa femme. Elle avait une impression que celui-ci roderait dans les parages. Elle sentait son odeur partout ou elle allait dans la région de Sylvania, une ville dit en son hommage. Oceanne le savait bien que celui qu’elle cherchait allé se retrouver ici, elle le savait grâce à sa mère, elle ne communiquait pas avec elle, puisque l’esprit d’Alkara était dissout dans la nature, errant sans cesse à la recherche d’un endroit…

Un vent froid et lugubre se fit sentir, un vent qui ne présageait rien de bon, un vent si terrible que si Oceanne n’avait pas été dans les parages, tous les habitants de cette région auraient eut une peur sordide. Elle s’était installé devant cette statue de Sylvania. Dans chaque compartiments des trois mondes, des statues en hommage de ceux qui avaient vraiment servi à l’humanité avaient été gravées. Mais Oceanne s’était toujours demandé pourquoi aucune ville avait été à l’hommage de sa mère.

Le même vent se fit sentir. Elle le sentait… Zephyr était ici, elle ressentait son émotion remplis de colère. Elle savait ce qu’il voulait, mais pourtant, était-elle seulement la seule à pouvoir le satisfaire? Même si ce n’était plus le cas, les âmes étant perdues durant la bataille s’étaient comme volatilisé. Elle savait qu’il voudrait qu’elle fasse revenir cette femme pure, mais était-ce vraiment possible…

Le vent se fit plus fort. Maintenant, c’était sur, il était vraiment là. Edelweiss se contenta de fixer la statue de Sylvania, un sourire sur ses lèvres. Elle savait la liaison entre Zephyr et Sylvania, elle se demandait ou était ses enfants… Mort? Non, sûrement pas. Ni l’enfer, ni le paradis avaient accueillis leur âme.

Edelweiss : Nul besoin de te cacher Zephyr, je sais que tu es là. Mais ou as-tu caché tes enfants?

Demanda-t-elle en restant fixé sur la statue sans regarder sur les côtés s’il y avait quelqu’un.

Edelweiss : Le vent m’a apporté de tes dires et ta colère, je suis obligé d’endurer cette méfiance? Ne sait-tu donc pas que c’est dangereux pour un esprit de reprendre vie sans mon consentement?

Tout ce qu'elle entendit de la voix rauque de l'évadé fût:- Je ne suis pas mort, mais toi tu va bientôt l'être. Les Mille Oiseaux. Elle pût soudainement le voir, lui qui avait été si longtemps enfermé, lui qui avait si souvent passé du désespoir à la folie, de la raison à l'arrogance. Parfois même il semblait retrouver ses forces...mais cela ne durait jamais plus que de quelques minutes, à peine le temps de tirer sur ses chaînes. Elle le vît alors avec ses vêtements en lambeaux, son visage sombre, ses yeux dorés brillant de défi...puis il charga. il charga à une vitesse terrible, mais quelque chose n'allait pas, sa main gauche brillait d'éclairs bleutés...Cela n'augurait rien de bon, car il semblait vouloir user de sa technique pour abbattre la déesse! Il rugit alors:- Ils sont morts! Le sale monstre m'a forcé à le regarder les massacrer après ma défaite contre lui! Maintenant, meurt à ton tour! La main empli d'éclairs n'était plus qu'à quelques centimètres de la poitrine de la déesse...c'était avec ce sort qu'il avait vaincu Zamielle et avait déchiré la substance entre les dimensions pour se libèrer...Comment Océanne y échappera t-elle?

((Helllooooo??? Ya quelqu'un? Sa fait full longtemps que j'attends moi!!! ><''))