Parmi les terres ensevelies de haine du monde des Amazones, entre milles guerrières et leurs champ de bataille se dressait un endroit reclus, destiné aux vestiges du passé de la déesse du feu. Il y avait trois tombes, celle de sa fille, de son fils et de sa tendre. Toujours éprise de sentiments, elle avait versé chaque larme en posant ces pierres d'un roc philosophale sur les restes de leurs corps après le passage de Methos...
Ce nom qu'elle se jura d'anéantir au nom de sa vie et en attendant ce fameux, chaque être, chaque créature mâle voulant approcher ses terres cellées de rage et de sang. Toutefois, une statue d'or se dressait sur une marche de pierre en laissant une femme d'apparence stoique reposer aux abysses de sa peine, l'image d'une statue hantant cet enclos spécialement ouvert pour elle, l'amoureuse des flammes.
Une chevelure tressée d'or, un teint reluisant tel le crin convoité du soleil, mais des yeux éclatant d'un rouge pétrifiant. Une lueur meurtrière parcourant Sagesse, devant les chamailleries de ses soeurs puériles...Vêtue d'une toge blanche déchirée à ses cuisses et à son ventre, une épée logeait constamment sa mai ndroite en affligeant la terreur de cette statue.
Dans un axe plus particulier, une crinière d'ébène arrachait quelques cheveux roux à Arrogance. La partie fée ne se battant qu'avec ses petits ongles d'un noir tranchant, sa peau violette scintillait d'argent sous la lune, comme ses yeux d'un cristal si pure que la lumière cessait de rivaliser avec ce visage fin et élancé. Une silhouette aussi charmante que ses doubles lui proférant un charme délectable, ses ailes de soie irisés battaient l'air avec ironisme pour enrager la demie-dragonne, voici Tendresse.
Arrogance grogna encore, sa queue écaillée battant l'air, pareillement à ses ailes éapisses d'un rouge fané par les années. Une échine noire protégeant sa colonne et son cou, des morceaux de cuir noir couvraient partiellement le corps d'une beauté au traits déformées par la colère perpétuellement. Des yeux noirs comme la nuit visualisant des senshors du commun, de ses griffes tranchantes, elle fracassa le dos d,une pierre tombale.
-Vous battre est inutile. commanda Sagesse.
-Tendresse, va te faire voir! hurla Arrogance.
-Vous me faites peur! grelota la fée en rapettissant peu à peu.